Composition du bureau du CNOMK 2011-2014
Jean-Paul David
François Maignien
Jacques Vaillant
Yves Azzopardi
Pascale Mathieu
Protection des données de santé, un guide de la CNIL
Vous êtes un professionnel de santé exerçant à titre libéral, un membre d’une équipe soignante au sein d’un établissement de santé ou bien encore un médecin effectuant des recherches dans le domaine de la santé…. Vous allez être amenés à mettre en place des fichiers informatisés qui concernent vos patients et/ou les personnes participant à des recherches médicales. Vous envisagez également de recourir à des réseaux pour recevoir et transmettre des informations à caractère médical (feuilles de soins, résultats d’analyses ou gestion partagée de dossiers médicaux). Tous ces fichiers vont comporter de nombreuses informations, et en particulier des données de santé. La loi Informatique et Libertés encadre la collecte et le traitement de toutes ces données. Elle a pour objet de les protéger, dans la mesure où leur divulgation ou leur mauvaise utilisation est susceptible de porter atteinte aux droits et libertés des personnes, ou à l’intimité de leur vie privée. Elle assure une protection renforcée aux informations de santé considérées comme « sensibles ». Le respect, par le responsable de fichiers que vous êtes, des règles de protection des informations est un facteur de transparence et de confiance à l’égard de vos patients. C’est aussi un gage de sécurité juridique. Vous pouvez en effet voir votre responsabilité, notamment pénale, engagée en cas de non respect des dispositions de la loi. C’est pourquoi notre Commission, qui veille au respect de ces principes, souhaite vous conseiller sur les mesures à adopter pour la gestion des fichiers mis en place et l’information des patients sur les droits qui leur sont reconnus par la loi Informatique et Libertés. Alex TÜRK Président de la CNIL> télécharger le Guide Professionnels de santé, CNIL 2011, 76 pages au format pdf.
Aide à la recherche bibliographique en kinésithérapie
Trouver un article, l’analyser, le confronter est une Ă©tape essentielle, que votre mĂ©moire soit une ouverture sur de la recherche ou une analyse de cas, mais avant tout il faut dĂ©finir le sujet, poser une hypothèse. Le mĂ©moire se rĂ©alise souvent au cours de la 2ème annĂ©e, il est difficile de trouver seul l’hypothèse ou la thĂ©matique qui nous intĂ©resse en n’ayant pas encore eu les cours sur tous les champs de la kinĂ©sithĂ©rapie. NĂ©anmoins, un aspect encore nĂ©gligĂ© est la validation en langue française d’échelles anglo-saxones. En effet, il existe encore (trop ?) peu d’échelles dont l’utilisation est validĂ©e en langue française. Une piste Ă explorer ? Enfin, ne pensez pas que la lecture d’article s’arrĂŞte après le diplĂ´me. La rĂ©alisation du mĂ©moire n’est que le commencement de votre apprentissage de l’analyse d’articles en anglais (avec l’aide de «google translate» ou de «reverso» au dĂ©part) qui vous permettra de confronter votre pratique quotidienne aux preuves scientifiques et donc d’évaluer, d’analyser et de faire Ă©voluer vos prises en charge. Ne vous laissez pas tenter par la pratique de l’habitude ou de l’émotion. L’expĂ©rience clinique n’est pas Ă nĂ©gliger, mais Ă confronter aux donnĂ©es scientifiques et aux choix du patient, formant ainsi la base de la dĂ©marche d’EBP. La pratique du doute n’est-elle pas la plus intĂ©ressante ?> lire l’Aide Ă la recherche bibliographique en kinĂ©sithĂ©rapie, 12 pages au format pdf, Ă©ditĂ© par la FNEK, 2011
de la qualité clinique « perçue »
… small is beautiful ?
Les transformations de l’offre de soins correspondent-elles aux préoccupations des usagers de médecine générale ?
Questions d’économie de la santé n° 163 - Mars 2011
Guide de la mobilité internationale à destination des étudiants et des jeunes diplômés en masso-kinésithérapie
“…La formation initiale en physiothĂ©rapie est strictement universitaire. Il s’agit d’un programme de 4 ans validĂ© par un BaccalaurĂ©at (traduire, ou ne pas traduire Bachelor…that is the question !) en Sciences de la SantĂ©, dĂ©livrĂ© par les deux universitĂ©s nĂ©o-zĂ©landaises (Otago et Auckland).
Ce programme étudie le domaine de l’évaluation et du diagnostic ainsi que celui de la rééducation et des pathologies. Il comprend mille heures de stages cliniques.
Les étudiants souhaitant approfondir leurs connaissances ont la possibilité de suivre une maîtrise de recherche. Cette maîtrise propose un choix exhaustif aux étudiants, entre les domaines de l’acupuncture, de la thérapie manuelle, du diagnostic mécanique, de la réhabilitation neurologique, de l’ergonomie et la de la physiothérapie sportive. Il se déroule sur 18 mois à temps plein, validé par la réalisation d’une thèse et de deux articles d’étude scientifique.
Tous les physiothĂ©rapeutes exerçant en Nouvelle-ZĂ©lande doivent ĂŞtre enregistrĂ©s au Conseil NĂ©o-ZĂ©landais de la PhysiothĂ©rapie. Chaque annĂ©e, ils doivent suivre un certificat annuel de pratique, attestant du maintien des compĂ©tences via la formation continue…”