KinĂ©sithĂ©rapeutes : 17 spĂ©cificitĂ©s d’exercice
Une plaque supplémentaire peut être apposée à coté de la plaque professionnelle.
Seules peuvent être utilisées l’une des spécificités inscrites sur la liste arrêtée par le Conseil National de l’Ordre.
Celle-ci comprend à ce jour 17 spécificités :
- Balnéothérapie
- Douleur
- Drainage lymphatique
- Ergonomie
- Kinésithérapie du sport
- Méthode Mézières
- Posturologie
- RĂ©Ă©ducation cardio-vasculaire
- Rééducation de la déglutition
- Rééducation gérontologique
- Rééducation en périnéologie ou rééducation périnéo-sphinctérienne
- RĂ©Ă©ducation respiratoire
- RĂ©Ă©ducation maxillo-faciale
- RĂ©Ă©ducation vestibulaire
- Sexologie
- Soins de bien-ĂŞtre
- Soins palliatifs
création d’un 5ème risque de sécurité sociale sur la dépendance
la dernière annĂ©e ne reprĂ©senterai que 8% de la dĂ©pense de soins de toute une vie…
Lu avec intĂ©rĂŞt une tribune de Luc Broussy : Alain Minc et les “dĂ©penses des très vieux”.
Extrait : Non, le vieillissement n’est pas la cause majeure de l’explosion des dépenses de santé.
des déserts médicaux et paramédicaux
Les densités d’infirmiers libéraux vont de pair avec les masseurs-kinésithérapeutes, les chirurgiens-dentistes et les médecins généralistes libéraux.
Les masseurs-kinésithérapeutes vont aussi avec les dentistes, les généralistes libéraux et salariés, les spécialistes libéraux.
Lu le numéro spécial de la Gazette SantéSocial (FEHAP, octobre 2010) qui présente une très intéressante étude consacrée à la démographie médicale et paramédicale.
Extrait :
Xavier Bertrand et la médecine de proximité
CAPI, quelques milliers d’euros pour des mĂ©decins sous influence ?
Le CAPI : la conjuration des lemmings Le CAPI est un programme de l’assurance-maladie française destinĂ© Ă valoriser l’activitĂ© des mĂ©decins gĂ©nĂ©ralistes dont les prescriptions sont en accord avec des indicateurs de qualitĂ© prĂ©dĂ©finis. Si les prescriptions du mĂ©decin rentrent “dans les clous”, il reçoit une prime de quelques milliers d’euros en fin d’annĂ©e. De nombreux confrères, dont certains que j’estime, ont plongĂ© Ă pieds-joints dans le piège tendu par l’assurance maladie, tels des Lemmings marchant en rang serrĂ© vers leur perte. Il faut dire que la manĹ“uvre Ă©tait subtile : les premiers indicateurs qualitatifs retenus sont assez consensuels, destinĂ©s Ă appâter le confrère qui pense Puisque je le fais dĂ©jĂ , pourquoi ne pas accepter une prime ? On trouve nĂ©anmoins dans le catalogue des indicateurs des incitations d’intĂ©rĂŞt assez douteux, comme la vaccination antigrippale systĂ©matique des seniors. Ce qu’ils n’ont pas compris, c’est qu’il en est du CAPI 2010 comme des formations financĂ©es par l’industrie pharmaceutique et des actions sponsorisĂ©es en gĂ©nĂ©ral : c’est toujours celui qui paye qui finit par mener la danse, et la dĂ©pendance au financeur finit par devenir totale. Nous en avons l’exemple avec les sociĂ©tĂ©s savantes et surtout la convention mĂ©dicale, autre forme de contrat transformĂ© de fait en obligation avec le temps. Les augmentations d’honoraires futures seront intĂ©grĂ©es dans ce CAPI, et le mĂ©decin gĂ©nĂ©raliste capiste va progressivement “penser CAPI” avant de prescrire. L’objectif de maintien de sa prime va progressivement interfĂ©rer avec la recherche du meilleur traitement pour son patient. C’est humain. C’est inĂ©vitable. La relation mĂ©decin-malade va en ĂŞtre profondĂ©ment altĂ©rĂ©e. Je maintiens que la signature du CAPI participe aux conflits d’intĂ©rĂŞt qui anĂ©antissent notre profession, au mĂŞme titre que recevoir les visiteurs mĂ©dicaux ou participer Ă des actions de formation financĂ©es par l’industrie pharmaceutique. Il n’y a pas besoin de CAPI pour soigner correctement ses patients, et s’ils se sentent Ă©tranglĂ©s par la convention, qu’il se rappellent qu’elle ne constitue finalement que le CAPI prĂ©cĂ©dent, en moins contraignant.Notons que pour nous autres kinĂ©sithĂ©rapeutes, arpettes de l’autonomisation des patients, nulle prime en vue pour bon respect des rĂ©fĂ©rentiels, juste un rationnement des soin, une pĂ©nalisation des malades … car “c’est toujours celui qui paye qui finit par mener la danse” ! On a pas fini de danser. > lire l’intĂ©gralitĂ© de Le CAPI : la conjuration des lemmings sur Atoute.org
de la capacité d’agir au moment opportun ?
« La vocation de soignant est d’être un philosophe en puissance et même en acte »
Une interview de Michel-Pierre Geoffroy sur Agevillage :
Profil des compétences essentielles des thérapeutes en réadaptation physique au Québec
… un expert, un communicant, un collaborateur, un gestionnaire, un promoteur de la santĂ©, un praticien Ă©rudit, un professionnel…
Lu avec intĂ©rĂŞt le profil de compĂ©tence publiĂ© par l’Ordre professionnel de la physiothĂ©rapie du QuĂ©bec (septembre 2010); et vous en livre un (allĂ©chant) extrait :
De la complexité de la mesure en gériatrie
RelevĂ© dans la dernière livraison de Minerva l’article intitulĂ© Évaluation gĂ©riatrique globale : disposons-nous d’instruments de mesure et de mĂ©thodes d’investigation adĂ©quats ?, et songĂ© qu’entre la cure des courbes de Gauss et la “pifomĂ©trie” clinique, il existe un espace de recherche, son exploration requiert et du temps et des moyens…