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Récupéré sur le site de l’Académie d’Ostéopathie de France, une alléchante proposition de formation à cette rencontre très particulière, de particulier à particulier:

“APPROCHE PRATIQUE DE LA RELATION SOIGNANT/SOIGNÉ
ET DES RAPPORTS HUMAINS EN OSTÉOPATHIE”

Durant ses études, le futur ostéopathe décortique le corps humain en une multitude de sous-ensembles qu’il articule les uns avec les autres¹, dans cet esprit holistique qui est cher à notre profession². Mais l’humain est davantage que la somme de ses parties³.
La qualité de la dimension humaine dans la relation soignant/soigné peut, à elle seule, être responsable de la réussite ou de l’échec d’un traitement ostéopathique, aussi bon soit-il⁴.
La réponse homéostasique du patient au traitement ostéopathique dépend certes de la qualité de celui-ci, mais également de la dynamique relationnelle créée lors du soin. Il paraît donc important que le praticien ostéopathe se sensibilise à la notion de transfert/contre-transfert, afin qu’il puisse gérer davantage en conscience et avec éthique, le “pouvoir thérapeutique” que sa fonction lui donne⁵.

De l’intérêt de cette fameuse, et bien utile, humilité ostéopathique… à cet endroit précis où l’intérêt du client et celui du praticien se rejoignent (humour).

1. en fait, c’est un peu comme en kiné…
2. bien voyons, vous n’avez pas le monopole du coeur
3. ça, faudrai voir à le démontrer, pour l’instant, et à ma connaissance, c’est quand même un poil “a work in progress”, mais une “révélation” est toujours possible!
4. et de la réussite d’un “mauvais” traitement aussi?
5. et que l’attente du patient lui confère